Dans le monde du Revenue Operations (RevOps), la question de l’intervention des développeurs logiciels revient souvent. À quel moment est-il judicieux d’y faire appel ? La réponse courte : uniquement en dernier recours. Voici pourquoi.
Vous commencez à comprendre ce que les développeurs savent depuis longtemps : le véritable ennemi, c’est la complexité. Qu’elle soit liée à la communication, à la technologie ou à la gestion des équipes, la complexité ralentit votre efficacité et crée des points de friction inutiles.
Workflows internes : ajoutent un peu de complexité mais restent gérables.
Applications tierces : introduisent une couche supplémentaire de dépendances.
Solutions sur mesure développées par un développeur : c’est le niveau supérieur de complexité.
Un développement personnalisé implique :
Une dépendance à un système externe moins fiable que HubSpot.
La nécessité de trouver un bon développeur, ce qui est plus difficile qu’il n’y paraît.
Une dépendance à un prestataire externe pour chaque correction ou amélioration future.
Pour 90 % de vos problèmes, suivez ces principes et évitez la complexité superflue.
Il existe cependant des situations où un développeur devient une excellente option. Si votre entreprise est confrontée à un problème massif, complexe et difficile à résoudre avec des outils standard, alors un bon développeur peut être un atout majeur.
Avec le temps, vos workflows risquent de devenir un enchevêtrement ingérable. Un bon développeur saura tirer parti de décennies d’innovations technologiques pour concevoir une solution moins complexe et plus robuste que ce qui est réalisable avec des workflows et des applications tierces.
Si votre problème peut être résolu avec des workflows ou des solutions existantes, évitez d’ajouter de la complexité inutile. Mais si vous atteignez une limite technique et que la complexité devient inévitable, alors un bon développeur pourrait bien être votre meilleure option.
L’essentiel est de savoir quand et pourquoi faire appel à un développement personnalisé. Choisissez la simplicité tant que possible, et la complexité uniquement lorsqu’elle devient incontournable.